Charles Monnier se souvient :
1 – Le plus important à savoir, c’est : si on perd le match on descend en N3 et si on gagne peu importe le résultat de nos concurrents on est maintenu.
2 – Lorsqu’on arrive au stade à EVREUX, on s’aperçoit que c’est la fête du club et qu’en cas de victoire des locaux, ils accéderont pour la 1ère fois au PLAY-OFF. Et lors de ce championnat, ils n’ont perdu qu’une seule fois sur leur terrain et c’était contre le feu SNUC, alors 1er de poule.
3 – A la descente du bus, on se dirige tous vers le terrain pour prendre un peu la température des lieux comme il est de coutume et on voit en plein milieu de la pelouse le drapeau breton « GWEN A DU » planté par les supporters du RCV qui avaient fait le déplacement.
4 – Pour ce dernier match de la saison, je décide d’incorporer des juniors REICHEL dans le groupe de l’équipe première : Cornilly – Le Corre – Le Luron – Terrom – Le Forestier – Plouvier et Léost afin de booster les anciens. Sauf qu’à cause de ce match certains joueurs n’ont pas peu disputer la finale REICHEL B contre BOUR-EN-BRESSE quelques jours plus tard parce qu’ils avaient joué trop de matchs en équipe 1 durant la saison (8 je crois).
5 – Et enfin pour l’anecdote, j’étais suspendu pour ce match et j’ai du le suivre des tribunes. C’est Jean-Noël SPITZER, alors éducateur au tout nouveau centre de formation régional installé dans les locaux de l’auberge de jeunesse à SENE (à coté du stade de foot) qui m’a remplacé. Peut être que c’est à partir de ce jour là que Jean-Noël a eu le déclic pour devenir entraîneur ???
Voilà la petite histoire du maintien de RCV en NATIONALE 2 pour la saison 2000-2001.
Vous trouverez d’autres articles sur ce match dans le diaporama suivant :
